C’est mardi le 31 janvier à 20 heures que débutera l’émission The Strain sur les ondes de Z. Si vous ignorez en quoi consiste cette histoire de vampires pas comme les autres, voici dix raisons d’écouter la série télévisée.
C’est Guillermo del Toro!
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Bien qu’il n’ait réalisé que le premier épisode de la série, The Strain se base sur les trois romans écrits par Guillermo del Toro (à qui l’on doit Le Labyrinthe de Pan, Hellboy ou Rives du Pacifique), en collaboration avec l’auteur Chuck Hogan.
La maladie du vampirisme
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The Strain présente le vampirisme comme un virus se propageant à travers la population, ce qui, en plus de moderniser complètement la formule, donne à la série télévisée des allures apocalyptiques de film de zombies avec sa terrible épidémie.
Un CSI de l’horreur
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Puisqu’elle met en vedette deux épidémiologistes du Center for Disease Control (et bon nombre d’autopsies dégoûtantes), The Strain ressemble souvent à un bien improbable croisement entre Dracula et la série télévisée CSI: Les Experts.
Des effets spéciaux littéralement écœurants
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Que ce soit la mutation progressive des pauvres victimes, les langues-tentacules des vampires, ou les petits vers blancs répugnants par lesquels se propage le virus, le réalisme des effets spéciaux dans The Strain risque de vous lever le cœur.
Des personnages hauts en couleurs
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The Strain compte plusieurs personnages intéressants, parmi lesquels un exterminateur russe, un gangster mexicain, un ancien nazi devenu vampire, et même une vedette rock gothique clairement parodiée sur Marilyn Manson.
Retrouver Sean Astin
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Depuis son rôle de Sam dans la trilogie du Seigneur des anneaux, on voit moins souvent Sean Astin sur nos écrans. C’est donc un plaisir de retrouver le comédien dans The Strain, où il tient le rôle de Jim Kent, l’un des patrons du CDC.
David Bradley est presque sympathique
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Du concierge des films d’Harry Potter à l’infâme Walder Frey du Trône de Fer, David Bradley cumule les rôles de vieux schnoques, mais pour une fois, son personnage d’Abraham Setrakian, un genre de Van Helsing de l’âge d’or, est plutôt attachant.
Robocop, le réalisateur
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Surtout connu pour son rôle dans Robocop, le comédien Peter Weller est passé de l’autre côté de la caméra depuis quelque temps, et vous pourrez constater son talent de réalisateur dans The Strain, où il signe trois des épisodes de la première saison.
Ce n’est pas Twilight
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Oubliez les vampires beaux, séduisants, et quétaines de Twilight. En leur enlevant toute forme de romantisme pour en faire des créatures sanguinaires, The Strain réussit à rendre les vampires de nouveau terrifiants, pour notre plus grand plaisir.
Du sang neuf
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Grâce à son ton résolument adulte et sa façon quasi-scientifique d’expliquer le vampirisme sous la forme d’un virus, The Strain réussit carrément à réinventer le genre, ce qui en fait la série télévisée de vampires la plus originale des dernières années.
Ne manquez pas The Strain les mardis à 20h00!